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Témoignages 2008

 

N’hésitez pas à nous adresser vos témoignages sur les grâces reçues ou les moments forts que vous avez pu vivre avec le Seigneur, au cours de rencontres, de lectures de messages, etc.
(En français ou anglais, si possible..!)

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Mgr André FORT, évêque d'Orléans

A la fin de la session de mai 2008 à Orléans, avant la bénédiction finale

J’étais ce matin et j’avais la joie de confirmer, à l’église Saint Laurent d’Orléans, une trentaine de jeunes et d’adultes et, en vous rejoignant cet après-midi, je veux vous dire combien je suis avec vous.
Car il y a dans l’Eglise à la fois des dons de Dieu, que l’on appelle des charismes, qui sont des charismes institutionnels, qui se déploient à travers la vie consacrée et les ministères ordonnés.
Et j’avais la joie, ce matin, d’être le servant de la grâce du Christ, qui nous a promis son Esprit. Mais l’Esprit est libre. Et il n’y a pas seulement des charismes institutionnels, il y a aussi des charismes libres.
L’évêque, le grand Saint Irénée, disait que notre Père du Ciel a deux mains pour s’occuper de nous. Une main visible, qui a été au départ la Personne de Jésus et qui est maintenant le Corps Ecclésial de Jésus, qui pour nous est visible.
Mais il y a l’autre main de notre Père du Ciel qui est la main invisible, qui est le Saint Esprit. Et l’action du Saint Esprit vient, en quelque sorte, dans une liberté qui n’appartient qu’à Dieu. Et avec lequel la Vierge est particulièrement associée, puisque c’est Elle qui, la première et le mieux, a été disponible à l’Esprit Saint.
Alors j’ai bien aimé tout à l’heure vous entendre dire qu’entre les deux mains du Père il ne peut pas y avoir de conflit. Il ne peut pas y avoir de compétition. Il faut que les deux mains travaillent ensemble.
Les charismes institutionnels, les sacrements de l’Eglise, et la liberté de l’Esprit Saint, qui agit dans le cœur et que la Vierge Marie vient soutenir et accompagner.
Et dans le bel évangile de ce matin, Jésus nous disait que l’Esprit fait l’unité. Alors je vous invite tous et toutes à une piété fervente et, comme vous y avez été invités, eh bien ! de rejoindre aussi vos paroisses, de parler, gentiment, comme vous le disiez, à vos prêtres et même à votre évêque. Il faut être gentil avec votre évêque… mais il faut être gentil d’une gentillesse qui est la douceur et la force de l’Esprit. Amen ! C’est pas « gentil câlin », c’est « claire et nette la Vérité de Jésus ».
Voilà. Et donc, comme ce matin, j’ai appelé la bénédiction de notre Père du Ciel sur l’assemblée de tous ceux et celles qui entouraient les confirmants, eh bien ! maintenant, je vais appeler la bénédiction de notre Père du Ciel sur vous tous qui êtes là, pour que vous soyez renouvelés et fortifiés dans la grâce de votre baptême, dans la grâce de votre confirmation et que, nourris de l’Eucharistie, vous portiez les fruits que Dieu attend de vous…



                                

 
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Témoignage d’Yvette de Clermont-Ferrand

« Merci encore d’avoir pu participer, grâce à votre aide, à la session de mai à Orléans. J’en garde un excellent souvenir et beaucoup de grâces, de paix et d’ouverture. Dans le courrier, il est question de travailler à la gloire de Dieu et que chaque personne vivant sur cette terre a un rôle à jouer. J’adhère et je voudrais faire plus mais j’ai des problèmes de santé. Merci des litanies du Père Eternel ainsi que du petit chapelet d’amour joint au courrier. »


Témoignage de Jean

« A Orléans, en mai 2008, je désirais me confesser avec le Père Patrick mais c’était difficile parce que les prêtres étaient constamment sollicités. Pendant un temps de pause, le Père Patrick passe près de moi dans la salle de conférences et je l’interpelle. Il me dit : " Suis-moi. " Il se dirige vers le couloir mais les salles réservées à la confession étaient toutes occupées. Il ne restait plus que le couloir mais le va et vient continuel, l’agitation m’empêchaient de m’intérioriser. Dans ces conditions, je constate qu’il est impossible de se confesser.
Le Père Patrick me dit : " Demande à Jésus de rentrer dans Sa Chambre Hypostatique. " Ne comprenant pas, je lui ai fait répéter plusieurs fois. En constatant la paix et la bonté qui émanaient de son regard, j’ai eu confiance et dis à haute voix : " Seigneur Jésus, par votre grâce, j’entre dans Votre Chambre Hypostatique " et, à cet instant, j’ai ressenti une grande paix ; un silence m’envahissait, comme si je n’étais plus là mais loin du couloir bruyant. Et je me suis confessé dans de bonnes conditions.
Arrivé chez moi, j’ai voulu vérifier dans le dictionnaire hypostatique – terme théologique – hypostase : union de la nature humaine et du Verbe. J’ai compris que j’étais entré, en obéissant au confesseur, dans le Cœur de Jésus.
Cette expérience a été pour moi comme un point de départ pour ressentir la présence de Jésus et, depuis ce jour, c’est une joie pour moi de me retrouver dans cette Union Transformante, une demi-heure par jour, qui m’apporte la Paix. »


Témoignage d’Hervé et Cécile de l’Ain

Ils ont déjà marché avec nous à plusieurs reprises sur les routes de France, en réponse à la demande de Jésus : " Marchez, Je suis avec vous. " (Matthieu 28, 30)
Ils sont revenus début octobre marcher depuis La Salette jusqu’au Laus, pour la fête du St Rosaire. A leur retour, ébahie, une personne de leur famille les interpelle : « Mais, vous êtes tout rayonnants ! »
OUI, merci Seigneur, ces marches-prières avec Toi nous inondent de JOIE, TOI qui es la lumière du monde et qui veut nous entraîner sur un chemin de bonheur.


Témoignage d’Anne du Gard, présente à Rocamadour en août 2008 à la retraite du Père Manjackal

« En octobre 2007, au retour d’un long voyage pénible, mes jambes avaient doublé de volume. Avec le repos, l’enflure avait disparu, sauf aux pieds. La marche m’était douloureuse et aucune chaussure ne me convenait !… Jusqu’à la retraite du Père Manjackal à Rocamadour au 31 juillet 2008. A cette retraite, toute enflure des pieds a disparu. Plus de douleur. J’ai retrouvé le bonheur de marcher.
Merci Jésus !
Merci Père Manjackal ! »


Témoignage de Jean-Luc de la Creuse (présent à Pontmain le 17-12-2008)

Chère Odile,

Quel enseignement extraordinaire ai-je reçu à Pontmain ! Déjà, il y a un mois, quand tu m’avais envoyé le message d’octobre, j’avais été touché par la proximité des paroles de Marie ; Elle est si proche de nous.
Mais là ! Je fus saisi d’une façon nouvelle. Marie voit en nous, non seulement ses enfants terrestres, mais Elle a en même temps la vision de nos vies de frères du Christ ressuscités. Elle nous voit sur terre et nous aperçoit déjà présents dans l’Eternité. C’est bouleversant.
La Messe était dense dans cette petite église bondée. Tant de personnes à genoux, tant d’amour exprimé envers notre Sauveur. La visite au Parvis fut très simple : Rosa nous témoigna de la volonté de discrétion que Marie nous demande. Mais la source est là ! Je l’ai vue sourdre. Cela est merveilleux. Cette source sera abondante et inépuisable.
Le chapelet ensuite fut une prière exemplaire : les anges et les saints, les fidèles pèlerins tous unis, afin d’honorer Marie déjà victorieuse mais si triste encore aujourd’hui. Après cette prière mémorable (peut-être le plus beau chapelet de ma vie) il me fut donné une vision. Je compris que nous avions offert à Marie un merveilleux cadeau et je le vis : un très beau bijou en forme de lys stylisé. Sa couleur était bleue et les arêtes étaient irisées de couleur blanche. C’était un merveilleux saphir que nous venions d’offrir à Marie. Nous n’avions pas offert la couronne mais je compris que ce joyau devait être intégré à une couronne et que Marie allait conserver ce bijou éternellement.
Je compris alors que, grâce à la présence du Seigneur parmi nous, nous pouvions faire grâce, offrande à Marie de ce bijou. C’est tout.
A bientôt.
Le 17-01 je serai à Prague et je prierai avec mon épouse l’Enfant Jésus afin qu’Il vous accorde une divine surprise.
Je vous embrasse.


Témoignage de Catherine de l’Ain, présente à Rocamadour en août 2008

A la retraite de Rocamadour, en juillet-août 2008, Madame « Odile » de l’association Témoins de l’Amour et de l’Espérance, m’a proposé un témoignage de Gloria Polo (visiter le site de Gloria ou télécharger le PDF).
Ma première réaction fut de refuser, même assez sèchement. J’avais déjà tellement lu d’histoires sur les âmes du purgatoire ! Une de plus ?! Elles se ressemblent toutes. Donc… NON ! C’est non ! Merci.
Oh ! Mais « Odile » a insisté et j’étais presque contrariée par cette insistance ! Je me suis même dit : « Cette femme m’énerve d’insister pareillement ! C’est pas possible ! » Et puis avec des arguments de plus en plus forts et qui ont dû me toucher ! Finalement, pour avoir la "paix", j’accepte à contrecœur de prendre un exemplaire et je m’en vais presque contrariée en me traitant de « nulle, de faible et d’influençable », d’avoir cédé à cette "femme" en faisant quelque chose que je ne voulais pas faire, ni acheter même pour un euro !
Le soir même, je n’avais rien de prévu, alors je prends machinalement le livret, pour "voir", "quand-même". Allons voir de quoi il s’agit cette fois ; qu’est-ce qu’il raconte encore ? Etc… Etc… Et je commence à lire le témoignage.
Presque aussitôt que j’ai commencé à lire le récit, je me suis sentie « accro ». Je lisais, je lisais, sans pouvoir m’arrêter jusqu’à une heure du matin d’un seul trait. Que ce récit soit véridique ? Je ne me suis même pas posé la question ! C’était d’une évidence certaine pour moi ! Il n’y avait aucun doute ! Et plus je lisais, plus je me sentais envahie, ou plutôt en communion très intense (je n’ai pas de mot pour l’exprimer) avec comme une « vague d’Amour » indéfinissable, tellement forte… qui m’a complètement saisie, comme si l’on remplissait mon cœur de ce même Amour… et j’ai éclaté en sanglots…
C’était indéfinissable. Tout mon corps était atteint. Ce n’étaient pas des sanglots de tristesse, mais des sanglots de joie ! Et je me suis mise à dire à voix haute et à répéter, et répéter : « Merci Jésus ! Merci Jésus !!! » Je ne pouvais pas m’arrêter au milieu de mes sanglots si profonds. J’étais assise sur mon lit et, les deux mains croisées, je serrais le témoignage de Gloria Polo sur ma poitrine et mon cœur. Et je ressentais toujours plus fort cet Amour « indéfinissable » qui me procurait un bonheur inouï et une grande paix indescriptible avec des mots humains.
Combien de temps a duré « cet état » ? Je ne sais. J’ai ressenti une telle paix dans mon cœur, un tel bonheur, que j’en savourais chaque seconde en désirant rester dans cet état. A ce moment-là j’ai ressenti en moi, à mon pauvre niveau de misère humaine, l’AMOUR MISÉRICORDIEUX DE JÉSUS pour nous tous ! Depuis, j’ai toujours ce même sentiment en moi, lorsque je me remémore cet événement si merveilleux !
Le lendemain, je suis allée voir « Odile », avec le cœur plein d’amour pour elle. Je l’ai remerciée et lui ai acheté cinq témoignages de Gloria Polo que je n’arrête pas de faire passer à droite, à gauche, et personne ne reste indifférent.
Merci encore ; je vous aime tous très fort et surtout restons en union de prière.

                                                Catherine

P.S. Merci encore à Odile de tout cœur d’avoir été l’instrument docile de l’Esprit Saint pour que j’accepte de prendre ce témoignage de Gloria Polo !

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