Aujourd'hui encore, comme avec ses premiers disciples, Jésus nous invite à oser nous aventurer, à prendre un risque, et à devenir les chevaliers fervents de MARIE, « terrible comme une armée en bataille.» « Laissons-nous former par MARIE. » (JNSR)  Lui obéir, avec notre rosaire « pour contrecarrer les forces du mal », voilà la nouvelle évangélisation en marche. « Pour rien au monde, ne cessez de travailler pour MOI. C'est Moi qui conduit cette œuvre merveilleuse de Mon Cœur Immaculé. Le mouvement marial des laïcs va commencer sous Mon splendide manteau céleste...» (Marie à Fabiana - Argentine) «J'appelle aussi tous Mes enfants généreux pour qu'ils travaillent à Mon Œuvre afin d'attirer à Mon Cœur Immaculé tous mes autres enfants perdus qui ne trouvent pas le chemin...» (Marie à Fabiana - Argentine, le 4 mai 1995)  Marcher, c'est oser se mettre en route vers l'inconnu, pour voir le monde autrement et évoluer dans une relation intime avec Jésus et Marie. C'est un chemin de découverte... afin de ne pas rester figé... une démarche libre, chemin qui nous invite à être attentifs aux signes souvent subtils de l'Esprit en expérimentant les paroles données à Léandre : « Heureux êtes-vous de découvrir comment vous pouvez être guidés continuellement afin de vivre sous la constante inspiration du Père. C'est ainsi que vous obtenez la vraie sécurité et la grande liberté que le Père accorde à Ses Enfants... »

ROME... BURKINA FASO... DOMREMY...

« Rome est la plus belle cité chrétienne » dit Jésus à Giovanna, une âme privilégiée. « Je n'oublierai jamais les sentiments qui m'animaient pendant mes premières journées « romaines » en 1946, tandis que je commençais à faire connaissance avec la ville éternelle » affirme Jean-Paul II (Ma vocation - don et mystère). Découvrir la capitale du christianisme est une chance inouïe. Visiter la ville éternelle, à la lumière des saints, que d'émotions ! La Rome des Basiliques, St Jean de Latran avec la « Scala santa », Ste Marie Majeure avec la mangeoire de Bethléem, etc... L'église qui appartient à la France : la Trinité des Monts dédiée à St François de Paule, le tableau miraculeux de « Mater Admirabilis », la prière fervente devant le tombeau de Jean-Paul II : un véritable approfondissement de la vie en Eglise. Beaucoup de joie, beaucoup d'émotion, beaucoup de ferveur, place Saint Pierre en assistant à la messe et à la canonisation de 4 chrétiens. Nous revenons de Rome où l'idée première était d'aller prier pour la France sur le tombeau de Jean-Paul II pour le 16 octobre, anniversaire de son pontificat, puis retourner à la communauté de Mère Eugenia, « La Maison du Père », à Anzio : un petit coin de Paradis. Nous avons découvert l'Eglise où repose le corps de Maria Goretti. Nous avons offert la prière du chapelet à St Benoît, dans sa grotte d'ermite à Subiaco et avons rendu visite à Ste Rita à Cascia, patronne des causes désespérées. Enfin, nous avons marché, à notre retour, jusqu'à la grotte de Ste Marie-Madeleine de la Sainte Baume où l'évêque de Monaco célébrait la messe. Pèlerinage béni où les signes, les clins d’œil d'amour du Seigneur nous ont montré que le Seigneur veille sur ceux qui l'aiment. Prochain pèlerinage à Rome et à Anzio dès que nous serons 9 (pour remplir le mini-bus). S'inscrire à l'Association.

Burkina-Faso et Bénin en février 2007. C'est découvrir une autre civilisation et la réalité de vie d'un peuple pauvre, simple, accueillant, où la richesse de vie spirituelle et fraternelle nous évangélise en profondeur. C'est bénéficier de toute cette chaleur humaine, cette joie du cœur qui nous manquent en Europe, c'est retrouver le Père Simon et sa communauté qui prient pour la FRANCE... le père Benjamin, le Pasteur Pierre et les enfants de la rue. C'est reprendre le chemin de la colline de Yagma bénie par Jean-Paul II.

Domrémy (5/6/7/8 mai 2007) avec Jeanne d'Arc, avec St Michel Archange pour que notre pays retrouve son élan, sa générosité, sa vraie Mission. Une sorte de colloque avec les nouveaux prophètes qui seront là, avec nous, mandatés pour le rétablissement de la paix des cœurs. « Ce feu me dévore, il est aussi ce qui illumine et féconde ma mission, celle d'aller au secours du Royaume de FRANCE » disait Jeanne d'Arc. Le même feu brûle dans le cœur des messagers invités à Domrémy... Venez nombreux !

Merci à tous ceux et celles d'entre vous qui prenez le temps de nous écrire pour nous encourager et nous dire que le courrier de l'association vous remplit de joie et d'espérance, que vous l'attendez avec impatience... Merci de votre aide pour trouver églises, salles, hébergements.

Merci au Père Paul Pouplin, responsable pour le Renouveau en Vendée, qui nous écrit : « J'ai parcouru les documents que vous m'envoyez. Je ne trouve rien de répréhensible au plan de la foi et du sens de l'Eglise. J'admire l'enthousiasme et l'amour de la prière qui s'y développent. Mais je prie surtout pour que les gens ne s'arrêtent pas au merveilleux, à la dimension extraordinaire et sensible de la vie chrétienne, et qu'ils aillent à la Source. Le vrai « message », c'est l'Evangile. Et le vrai Messager, c'est l'Eglise ! Merci de vos efforts pour vivre cette orientation... Je prie avec vous pendant le pèlerinage de Domrémy, comme pour les autres. » (lettre du 14/9/2006).

NOËL... NOUVELLE ANNEE 2007...

Résolutions pour 2007 : Tout accueillir avec un cœur d'enfant, car nous sommes trop petits pour comprendre, dit Marie à Léandre. Rester en habit de service, le « OUI » sincère, la grande intimité avec le cœur de Jésus, la profondeur de notre engagement ; prenons le petit chemin de raccourci cette année encore : « Parce que l'Amour m'aime, je deviens l'Amour ». Expérimentons la nouvelle façon de vivre, par notre docilité en nous laissant transformer par l'Amour car « Mon Amour est plus grand que tout » nous dit Jésus par Léandre. « Je vous demande simplement d'avoir confiance en MOI, la Maman de tous... » nous dit Marie par Fabiana. « Mon âme est en moi comme un enfant, comme un petit enfant contre sa mère. » (psaume 131)
Un Joyeux Noël et une Bonne Année à tous.
Avec nos fraternelles pensées et à bientôt pour de nouvelles rencontres.

                                                             
                                                               Jean-Pierre    -    Bernadette    -   Jean   -   Odile

Jean Paul II et la FRANCE

Sa Mission continue. Il veille... puisqu'en septembre et octobre 2006, il a adressé plusieurs messages pour que la paix et la Foi refleurissent au Royaume de la Fille Aînée de l'Eglise : messages à diffuser et à mettre en pratique si nous aimons notre pays !

Dimanche 15 octobre 2006 : « Je me souviens du moment où j'ai dû apparaître pour la lere fois au balcon de la place St Pierre après mon élection (16/10/78). C'était un moment inoubliable et à la fois terrifiant. C'est alors que m'est venue à l'esprit l'idée d'envoyer un ambassadeur devant moi dans tout ce que je ferai désormais. Et, bien sûr, j'ai envoyé la Vierge Marie si chère à mon cœur et en qui j'ai une telle confiance. Aussi me suis-je exclamé : « Totus tuus Virgo Maria ego sum (Je suis tout à toi Vierge Marie).» Tout alors redevenait facile. Elle me précéda tout au long de mon pontificat. Aussi, aujourd'hui, je demande à la France et aux Français de faire la même chose.

Si vous envoyez Marie devant vous dans tout ce que vous faites, alors votre vie va avoir un nouveau sens, votre route va être aplanie. Aussi, ce dimanche 15 octobre 2006, à l'angélus du soir, je demande à la Vierge Marie de protéger tout particulièrement la FRANCE.

Je demande aux Français de dire le chapelet de Notre Dame des douleurs.
Et moi-même, je leur donne rendez-vous à la même heure à cet angélus du soir, si cher à mon cœur et porterai toutes leurs intentions à celle dont la vie n'a été qu'un éternel FIAT. « Christus vincit Christus regnat Christus imperat. »

Lundi 16 octobre 2006 : « ...Aujourd'hui, je vous dis qu'il faut que 5000 adultes en France se consacrent à la Vierge Marie en disant « Totus tuus Virgo Maria ego sum » et promettent de dire tous les jours le chapelet de Notre Dame des douleurs pour que la FRANCE retrouve la paix et redevienne la Fille Aînée de l'Eglise. Je demande aux prêtres d'en faire leur priorité.» « Christus vincit... » Message de Jean Paul II

Vendredi 8 septembre 2006 : « Faisons une grande chaîne de solidarité des chrétiens autour du songe de Don Bosco, c'est à dire de la Vierge et de l'Eucharistie. Pour obtenir par la souffrance offerte des uns pour les autres une multitude de grâces et de conversions par la Vierge Marie en ces temps qui sont les derniers, où Elle peut obtenir beaucoup pour tous.»

Prions le Chapelet de Notre Dame des douleurs (ci-dessous)
+ 1 dizaine de chapelet (de préférence en latin) puis terminer par :
« TOTUS TUUS VIRGO MARIA EGO SUM »
Une pluie de miracles et de conversion tombera alors sur la FRANCE.

Parmi les songes prophétiques de Don Bosco est célèbre celui appelé le songe des « trois blancheurs ». En voici succinctement le récit : « J'ai vu une grande bataille sur la mer : le navire de Pierre piloté par le Pape est escorté de bateaux. Le vent contraire et la mer agitée semblaient favoriser les ennemis.
Mais au milieu de la mer, j'ai vu émerger deux colonnes très hautes : sur la première, une grande hostie (l'Eucharistie) et sur l'autre (plus basse) une statue de la Vierge Immaculée avec un écriteau : Auxilium christianorum. Le navire du Pape n'avait aucun moyen humain de défense. C'était une sorte de souffle, qui provenait de ces deux colonnes, qui défendait le navire et réparait aussitôt tous les dégâts.
La bataille se faisait toujours plus furieuse ; le Pape cherche à se diriger entre les deux colonnes, au milieu d'une tempête de coups. Tandis que les armes des agresseurs sont en grande partie détruites, s'engage une lutte corps à corps. Une première fois, le Pape est gravement blessé, mais ensuite il se relève ; puis une seconde fois... et cette fois, il meurt tandis que les ennemis exultent.
Le nouveau Pape, élu immédiatement après, reprend la barre et réussit à atteindre les deux colonnes, y accrochant avec deux chaînes le navire, qui est sauvé, tandis que les bateaux ennemis fuient, se détruisent réciproquement, et coulent. »

Ce rêve laissa troublés plus de 500 jeunes qui étaient réunis, comme tous les soirs, pour écouter Don Bosco, au mois de mai 1862. C'est seulement le matin suivant qu'il leur expliqua le sens de ce songe. « De graves persécutions et tourments attendent l'Eglise ; il reste deux seuls moyens pour la sauver : Marie, « aide des chrétiens », et l'EUCHARISTIE. »

8 novembre 2006 : Message donné à une âme privilégiée par la Ste Vierge : « Je vous demande de bien vouloir réciter le chapelet des 7 douleurs tous les jours pendant un an et à partir du 8 décembre 2006 pour Sa Sainteté Benoît XVI et pour que la FRANCE redevienne la Fille Aînée de l'Eglise. » Christus Vincit, Christus Regnat, Christus Imperat.

« Chers amis, priez pour moi, pour que j'apprenne toujours plus à aimer le Seigneur... Priez pour moi afin que je ne me dérobe pas, par peur, devant les loups. Priez les uns pour les autres, pour que le Seigneur nous porte, et que nous apprenions à nous porter les uns les autres. »  Benoît XVI - 24 avril 2005.

Chapelet de Notre-Dame des Douleurs

Ma divine Mère, faites que mon cœur partage et soulage votre douleur...

Première Douleur : la prédiction de Siméon.
Ô Mère affligée ! Je prends part à la douleur dont fut remplie votre âme, lorsque, à la vue de votre divin Enfant, saint Siméon vous prédit que cet aimable Sauveur serait en butte aux contradictions des hommes, et qu'un glaive percerait votre âme.
Par ce cruel souvenir dont votre Cœur était sans cesse déchiré, je vous conjure, Ô puissante Reine ! de m'obtenir la grâce d'avoir toujours gravées dans mon cœur la Passion de Jésus et vos douleurs.
Notre Père... Je vous salue Marie...(7 fois)  Gloire au Père... Ma divine Mère...(ci-dessus).

Deuxième Douleur : la fuite en Egypte.
Ô Mère affligée ! Je prends part à la douleur que vous causa votre fuite en Egypte avec votre adorable Fils, déjà poursuivi à mort par les hommes qu'il venait sauver.
Par les fatigues et angoisses de ce pénible voyage, par la pauvreté et l'humiliation de votre séjour en Egypte, je vous supplie, mon aimable Souveraine, de m'aider à supporter avec vous et comme vous, tous les maux de ce triste exil, afin d'arriver heureusement à la céleste patrie.
Notre Père... Je vous salue Marie...(7 fois)  Gloire au Père... Ma divine Mère...

Troisième Douleur : Jésus perdu au Temple.
Ô Mère affligée ! Je prends part à la douleur que vous causa la perte de Jésus à Jérusalem. Pendant trois jours vous l'avez cherché avec inquiétude et avec larmes et gémissements, ne pouvant prendre un instant de repos en l'absence de Celui qui était votre unique bien. Par ces ardentes recherches, par cette séparation si longue et si amère, je vous supplie, Ô tendre Mère, de m'obtenir la grâce de ne perdre jamais mon Dieu par le péché, mais de lui être toujours uni sur la terre et de le posséder éternellement dans le ciel.
Notre Père... Je vous salue Marie...(7 fois)  Gloire au Père... Ma divine Mère...

Quatrième Douleur : Jésus portant sa Croix.
Ô Mère affligée ! Je prends part à la douleur qui saisit votre Cœur à la rencontre de Jésus, tout couvert de sang et de plaies, couronné d'épines et succombant sous le poids de la croix.
Par le double glaive qui transperça alors votre Cœur et celui de votre Fils bien-aimé, je vous supplie de m'obtenir, Ô très sainte Mère ! une parfaite résignation à la volonté de mon Dieu et la grâce de porter ma croix avec joie dans la compagnie de Jésus jusqu'au dernier soupir de ma vie.
Notre Père... Je vous salue Marie...(7 fois)  Gloire au Père... Ma divine Mère...

Cinquième Douleur : l'agonie de Jésus.
Ô Mère affligée ! Je prends part à la douleur qui inonda votre âme au pied de la croix de Jésus.
Mère pleine d'amour ! Par l'agonie que vous avez soufferte avec votre Fils mourant et par la bonté ineffable avec laquelle vous nous avez alors reçus pour vos enfants, obtenez-moi de Jésus crucifié la grâce de vivre et de mourir crucifié à toutes les choses du monde, afin que, vivant uniquement pour mon Dieu et persévérant dans son amour jusqu'à la mort, je puisse le voir face à face et jouir de lui en paradis.
Notre Père... Je vous salue Marie...(7 fois)  Gloire au Père... Ma divine Mère...

Sixième Douleur : le coup de lance du soldat romain.
Ô Mère affligée ! Je prends part à la douleur qui vous perça le Cœur en voyant ouvrir par la lance du soldat romain le côté sacré de Jésus.
Par cette cruelle douleur, je vous supplie de m'obtenir l'entrée du divin Cœur de mon Jésus, blessé et ouvert pour moi. Que ce Cœur sacré soit ma demeure et mes délices pendant ma vie et que j'y attende avec paix et confiance le moment de la mort, pour ne plus m'en séparer pendant l'éternité.
Notre Père... Je vous salue Marie...(7 fois)  Gloire au Père... Ma divine Mère...

Septième Douleur : la descente de croix.
Ô Mère affligée ! Je prends part à la douleur où fut plongé votre Cœur, lorsque vous reçûtes entre vos bras le corps ensanglanté et inanimé de votre divin Fils et qu'il fallut, après qu'il eut été déposé dans le sépulcre, vous éloigner, laissant votre Cœur brûlant d'amour enseveli avec votre Fils.
Par votre cruel martyre, Ô Mère du pur Amour ! obtenez-moi le pardon de toutes mes offenses, protégez-moi contre les tentations, assistez-moi à l'heure de la mort. Je remets entre vos mains ma pauvre âme, objet de la Passion de Jésus et de vos douleurs. Ne l'abandonnez pas, Ô Mère de Miséricorde ! que vous ne l'ayez introduite au séjour du bonheur éternel.
Notre Père... Je vous salue Marie...(7 fois)  Gloire au Père... Ma divine Mère...

On récite ensuite trois fois le « Je vous salue Marie... » en l'honneur des larmes que la Sainte Vierge a versées dans ses douleurs et on ajoute :
          Priez pour nous, Ô Vierge affligée des plus grandes douleurs,
          afin que nous soyons rendus dignes des promesses de Notre Seigneur Jésus-Christ.

On peut conclure par l'oraison suivante :
          Seigneur Jésus, soyez-nous propice
          et accordez-nous la grâce d'éprouver l'heureux effet de votre Passion,
          dans laquelle, ainsi que l'avait prophétisé Siméon,
          un glaive transperça l'âme si tendre de la glorieuse Vierge et Mère, Marie,
          dont nous célébrons et honorons les douleurs.
          Nous vous en supplions, Ô Vous qui régnez dans les siècles des siècles. Amen.