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Dozulé Sulema Vassula
 

Extraits du volume    Livre - Alan Ames

Notre-Dame, 26 août 1994

II a fallu longtemps à l'homme pour en arriver à décider que Dieu peut-être n'existe pas, pour dire ensuite que finalement Dieu pourrait exister. L'homme ménage la chèvre et le chou et ne fait aucune profession de foi. Avant de s'engager, il se contente d'attendre pour voir ce qui va se passer.
Comment l'homme peut-il se dire libre penseur s'il est incapable de choisir librement en disant :       « Oui, il y a un Dieu » ou « Non, il n'y a pas de Dieu ». La foi de certains de ceux qui prétendent croire en Dieu est empreinte de doutes et de réticence. Ceux-là n'admettent l'existence de Dieu, sa Parole, que si elle leur convient. S'il s'agit de quelque chose de trop difficile, ils n'en tiennent aucun compte ou ils renient Dieu. Ces gens, incroyants, tant qu'ils n'ont pas besoin de Dieu, se mettent à espérer en son existence au moment où il leur devient nécessaire.
La pensée de l'homme actuellement s'appuie sur sa raison et sur sa science, outils qu'il utilise en tentant de découvrir la vérité de la création et la vérité de Dieu. L'homme actuellement se met à la place de Dieu lui-même. On dirait qu'il est le souverain maître de tout. L'homme aujourd'hui s'imagine que s'il peut découvrir les secrets de l'univers, il sera l'égal de Celui qui a créé toutes choses.
Comprendre les créations de Dieu ne permet pas de tout expliquer. Comprendre l'origine des choses et le comment de leur existence n'est pas la réponse au grand mystère de Dieu. L’homme ne pourra jamais éclaircir le grand mystère. Il ne pourra jamais saisir le mystère, la majesté, la grandeur, la divinité de Dieu.
L'homme trouve un jour la solution à une question compliquée, pour découvrir simplement qu'une autre question l'attend, plus difficile encore. L'homme un jour ouvrira la porte qui permet d'expliquer la création, pour s'apercevoir simplement qu'il a ouvert la mauvaise porte et qu'il découvre des questions plus nombreuses encore que celles par lesquelles il avait commencé.
Tout serait si simple si seulement l'homme pouvait voir avec les yeux de la foi. On trouve facilement les réponses quand on examine les problèmes avec les yeux de la foi et toutes les questions s'évanouissent.
L'homme est ici-bas par la grâce de Dieu. C'est Dieu qui a donné la vie à l'homme et qui lui a donné la raison. Dieu a pourvu à tout ce dont l'homme a besoin pour vivre heureux.
Dieu a donné à l'homme tout ce qui lui est nécessaire pour mener une vie accomplie. Dieu a tout donné à l'homme.
Si l'homme ne peut voir cela, il est temps alors pour lui de s'arrêter, de se regarder attentivement et de voir ce que cela lui a coûté de ne pas croire en Dieu et en ses dons. L'homme n'a qu'à remonter dans le temps. Tous les antécédents écrits de l'homme racontent ses malheurs. Guerres, assassinats, vols, haine, cupidité, famine, peste, luxure, immoralité foisonnent à travers l'histoire et pourtant l'homme ne cesse d'emprunter les mêmes chemins. L'homme ne met-il pas à profit les fautes qu'il a commises ? Faites un retour sur le passé et voyez quand il y a eu la paix et le bonheur. Jamais la paix et le bonheur n'ont régné depuis que l'homme a péché pour la première fois.
Si le péché n'a apporté que mort, destruction, douleur et chagrin, pourquoi s'y attacher ? Pourquoi sans cesse revenir à ce qui a échoué clans le passé ? Il faudrait quand même tenter une autre stratégie quand tout a échoué. Les anciens chemins ont mené à l'échec. Pourquoi ne pas en essayer de nouveaux ? Une nouvelle ère pourrait en résulter. Ce nouveau chemin est aussi vieux que le temps, mais l'homme ne l'a jamais emprunté. Ce chemin, c'est le chemin de Dieu. Le chemin de l'amour, le chemin de la simplicité, celui de la douceur, le chemin de Jésus.
Jésus a donné vie à l'antique Parole de Dieu, son Père. Il était cette Parole. Jésus a montré à l'homme comment appliquer la Parole de Dieu. La mettre en pratique comme lui, Dieu, l'entendait, et non pas l'homme. Jésus a montré que le monde deviendrait le paradis — ce qu'il était censé être — si nous vivions tous selon la Parole de Dieu. Jésus a montré le chemin. C'est le moment maintenant pour l'homme d'essayer de le suivre.
Que faire pour marcher à la suite de Jésus ? C'est facile. Aimer. Vivre dans l'amour de Dieu, l'amour du prochain et de vous-même. Traiter tout le monde et toute chose comme un cadeau de Dieu. Voir dans toute chose une étincelle de Dieu et la traiter en conséquence. La traiter avec amour.
C'est un chemin difficile à suivre, mais si vous vous y efforcez, vos efforts pourraient aider à sauver d'eux-mêmes le monde et les hommes.
Quelle tâche que celle que s'est imposée l'homme en voulant, au moyen de la science et de la raison, découvrir qui est Dieu, ce qu'est Dieu et où est Dieu !
Comment la science et la raison peuvent-elles répondre à ces questions ? Seule la foi le peut. La science et l'intelligence ne peuvent débrouiller ce qu'il est impossible de savoir. La foi est seule à pouvoir le comprendre. La science et la raison ne peuvent comprendre ce qui leur est extérieur, la foi est seule à pouvoir le faire.
La science et la raison peuvent-elles guérir de nombreuses maladies incurables ?
Non, la foi seule le peut.
La science et la raison peuvent-elles faire descendre la manne du ciel ?
Non, la foi seule le peut...
La science et la raison montrent-elles ce que sont réellement la vie et le vivant ?
Non, la foi seule le peut.
Que peuvent alors faire la science et l'intelligence ? Elles ne peuvent faire que ce que l'homme leur permet de faire. Elles pourraient faire bien davantage avec la foi en Dieu, car Dieu est le grand savant, le grand calculateur. L'intelligence de Dieu est saine, contrairement à celle de l'homme. Elle est pure, à la différence de celle de l'homme. L'intelligence de Dieu est amour, celle de l'homme ne l'est pas.
Qu'ont de bon la science et l'intelligence si elles ne vous mènent nulle part, si elles vous conduisent uniquement à la douleur et à la souffrance ? C'est ce qu'elles font pour une large part.
Pourquoi l'homme ne dit-il pas tout simplement : « Seigneur, montre-moi le chemin.» Dieu le ferait. Il lui montrerait alors le meilleur chemin. Il indiquerait à l'homme le chemin qui pour lui est le plus facile, le chemin qui pour lui est celui du plus grand amour.
L'homme était-il là quand le temps a commencé ? Etait-il là quand tout a été créé ? L'homme était-il présent quand la vie a été créée ? Non, Dieu seul était là. Alors pourquoi l'homme ne se tourne-t-il pas vers lui et ne le questionne-t-il pas si Dieu était, est et sera toujours ? Il vous répondra si vous le questionnez. Bien que ne le sachant pas, l'homme vit avec la foi en Dieu. Il croit qu'il y aura de l'air à respirer, que le soleil brillera, que la terre continuera d'exister, que sa vie va continuer, qu'il a sa vie entière devant lui, que son heure est encore à venir. Tant de foi en Dieu que l'homme ne voit pas. La science et la raison l'ont aveuglé. Faire mauvais usage de la science et de la raison, c'est simplement employer d'autres mots pour désigner le péché.
Dieu aime l'homme comme il aime le tout de la création. Dieu a créé l'homme comme il a créé la totalité de la création. L'homme est à Dieu comme tout ce qu'il a créé. Quand l'homme en viendra à comprendre cela et à le croire, il finira par réaliser que sa vraie destinée est en Dieu.
Quand l'homme acceptera Celui qui l'a créé, qui il est lui-même, ce pour quoi il a été créé, il pourra vivre dans l'amour et le bonheur.
Quand l'homme acceptera Jésus comme son Sauveur et Seigneur, comme son défenseur contre le mal, comme son amour, son chemin vers le Père au ciel, il commencera à connaître son avenir, à savoir comment vivre, comment aimer, comment être. Tous les hommes doivent accepter Jésus comme leur Seigneur. Tous les hommes doivent accepter que Jésus est ressuscité d'entre les morts. Tous doivent admettre que Jésus est le vrai Fils de Dieu qui, avec l'Esprit-Saint, est un avec le Père.
Quand l'humanité apprendra cela et l'acceptera dans la foi, le monde pourra devenir le paradis qu'il était censé être. Le monde alors vivra enfin dans la paix, l'harmonie et l'amour.
La plupart, dans le monde, veulent vivre ainsi. Alors pourquoi n'en est-il pas ainsi ? La plupart, dans le monde, désirent la paix, l'amour et la sécurité. La plupart recherchent cela, mais ils ne peuvent le trouver car ils ne regardent pas là où il faut.
Si seulement le monde pouvait s'en remettre aux paroles, aux actes et aux prières du Seigneur Jésus, il verrait que c'est le vrai chemin vers la paix. Le Seigneur Jésus n'est-il pas le Prince de la paix ? Le Seigneur Jésus n'est-il pas l'amour vivant de Dieu ? N'est-il pas la vraie sécurité pour l'homme ?
Que cherche l'homme aujourd'hui ? Il se recherche lui-même alors qu'il devrait chercher Dieu. Dieu regarde et attend pour apporter son aide. Il regarde avec un grand désir d'aider. Dieu regarde, impatient que l'homme accepte son amour.
Quand l'homme le fera, tout son moi changera et il deviendra l'être qu'il doit être. Qu'a apporté de bon le fait de s'en remettre à l'homme, de lui faire confiance et de croire en lui ? Allons, tournez-vous vers Dieu, faites-lui confiance, croyez en Dieu, aimez en lui et à travers lui et trouvez le vrai bonheur que vous vous efforcez d'obtenir.


Notre-Dame, 26 août 1994

Qu'est-ce que prier ? La prière, c'est s'entretenir avec Dieu. C’est une conversation avec lui. Prier, c'est être en relation avec Dieu.
La prière peut tout apporter à l'homme s'il prie comme il faut : la paix, la prospérité, l'amour, le bonheur et la joie. La prière peut donner Dieu à l'homme. Elle peut tout apporter.
Vous ouvrez votre cœur à vos amis, vos parents, quand vous leur parlez. C'est ce qu'il faut faire quand vous priez. Car Dieu est votre ami, votre amour, votre tout. De même vous écoutez ce que vous disent vos amis, vos parents, quand vous leur parlez. C'est ce qu'il faut faire quand vous priez. Et pas seulement parler, mais écouter, écouter Dieu. Si, en priant, vous écoutez, Dieu vous répond de bien des façons. Dieu répond avec amour.
La prière est un temps particulier pendant lequel Dieu est là avec vous et écoute ce que vous dites. Il écoute et il aime. Il attend seulement que vous lui offriez vos prières de sorte qu'il puisse les exaucer.
Dieu vous exauce quand vous demandez quelque chose en priant humblement, avec amour et vérité. Il ne vous exaucera peut-être pas de la façon que vous attendez ou que vous espérez, mais de la façon la meilleure pour votre âme. Il voit ce dont vous avez réellement besoin et il répond.
La prière doit être une expérience enrichissante. Elle ne peut l'être quand elle devient une corvée ou un devoir. La prière doit être l'expression d'un amour spontané, un complet abandon de soi-même.
La prière est la charge de la batterie de votre âme qui la fait brûler d'un nouvel amour de Dieu et d'une lumière nouvelle.
La prière est un cadeau de Dieu, si particulier, que vous devez y attacher un grand prix.
La prière est destinée à la partie la plus élevée de vous-mêmes, à votre âme.
La prière est pour votre bien et pour le bien des autres.
La prière est une grâce particulière accordée par Dieu à l'humanité.
La prière est un moment de joie pour Dieu, car ses enfants viennent à lui dans l'amour.
Prier, c'est vous glorifier et glorifier Dieu. La prière est pour tous.
La prière peut être faite de paroles quelconques, pas seulement de celles qu'on vous a enseignées. A part le Notre Père, Dieu n'aime rien tant que d'entendre vos paroles à vous, vos propres sentiments et pensées.
La prière n'est pas seulement parler ou chanter. Vous priez aussi dans ce que vous faites. Vous priez aussi si, par vos actes, vous voulez montrer l'amour de Dieu aux autres ou le glorifier. C’est ainsi, qu'au moyen de ce que vous faites, vous pouvez prier sans cesse.
La prière de silence, quand vous priez, assis avec Dieu, sans rien dire, peut être un moment très fructueux. Un temps où Dieu vous parle par des mots, des sentiments, des pensées ou des images. Un moment magnifique entre tous où vous savez que Dieu vous parle.
Cette prière de silence exige de ne pas être interrompue. Asseyez-vous dans une chambre calme, mettez le signal sur votre porte « Prière de ne pas déranger », décrochez le téléphone, ne vous laissez pas distraire et dites : « Seigneur, ces instants sont à toi. Aide-moi à écouter ta Parole, aide-moi à être en toi, à être avec toi.» Puis restez là, détendus, et essayez de vous concentrer sur un seul mot, le mot le plus important qui soit, le mot qui comble le plus, le mot le plus aimant, le mot le plus glorieux. Quel mot ?
Eh bien, Jésus, naturellement. Si en pensée, vous ne cessez de dire : « Jésus, Jésus, Jésus », vous commencerez à distinguer et à sentir venir à vous le message de Dieu.
Vous aurez beaucoup de distractions. Votre pensée va errer. Des idées bizarres vont essayer de vous entraîner — pensées au sujet de votre famille, de votre travail, concernant le sport, n'importe quoi. Continuez à dire « Jésus, Jésus », et tout cela s'en ira, et vous arriverez à la gloire de Dieu. Cela prendra peut-être du temps, vous aurez peut-être besoin de recommencer deux ou trois fois, mais persévérez. Puis fixez-vous un moment, chaque jour, et goûtez cet instant avec Dieu.
Quelques prières à dire aux heures où l'on prie habituellement :
Mon Père du ciel, je t'aime et je te demande pardon de mes péchés.
Mon Père du ciel, je t'aime et je te demande d'écouter les mots d'amour que je veux te dire.
Mon Père du ciel, je t'aime et je te demande ton amour.
Seigneur Jésus, mon Sauveur, mon Rédempteur, mon amour, prends-moi par la main et conduis-moi à ton Père du ciel.
Seigneur Jésus, mon Sauveur, mon Rédempteur, mon amour, prends-moi par la main et conduis-moi à ta gloire céleste.
Seigneur Jésus, mon Sauveur, mon Rédempteur, mon amour, prends-moi par la main et conduis-moi à la place que tu m'as spécialement préparée au ciel.
Saint-Esprit de Dieu, feu, colombe, vent et lumière de Dieu, remplis-moi de toi. Remplis-moi de ton feu, de ta paix, de ta Parole et de ton amour.
Saint Esprit de Dieu, libère-moi en toi. Saint Esprit de Dieu, illumine-moi des grâces de Dieu. Douce Mère de Dieu, Reine du ciel, écoute mes prières et demande à ton Fils, ton Epoux et ton Père de m'exaucer.
Aimables saints de Dieu, avec les grâces que Dieu vous a données, je vous supplie de me représenter auprès de lui et de prier le Seigneur d'exaucer mes prières.
Anges de Dieu, veillez sur moi et protégez-moi, que je serve le Seigneur et puisse venir à lui le jour de ma mort.
O Trinité Sainte, Dieu Saint, je t'adore, je te glorifie, je te loue, je te remercie et je t'aime.
Aimable Seigneur, je t'aime.


Dieu le Père, 14 novembre 1994

Tout ce que je demande, c'est que vous m'aimiez. Tout ce que je réclame, c'est que vous aimiez les hommes. Aimer, aimer, aimer, c'est vivre en moi.


Le Seigneur Jésus, 14 novembre 1994

Une Croix se dressait sur la colline, A une Croix, un homme était suspendu, à une Croix, Dieu était cloué.
L'amour qui fut donné,
L'amour qui fut partagé,
L'amour que fut cet homme, Dieu.
Suspendu à cette Croix, j'ai porté tous les péchés des hommes,
J'ai porté toute la haine de l'homme, son avidité, sa luxure, sa colère, sa peur.
J'ai tout porté et j'ai montré que Dieu pardonne à l'homme toutes ses fautes, toutes ses erreurs, tous ses péchés.
Je suis venu pour pardonner, pour aimer et pour conduire l'homme à son vrai destin avec le Père.
Comme cela fait mal de voir que l'homme ne croit et ne comprend toujours pas ce que Dieu lui a donné, ce qu'il lui a offert et continue de lui offrir !
Comme la lance a profondément fouillé mon cœur ! Mais elle n'est pas allée si avant que la douleur que me cause l'homme aujourd'hui en refusant Dieu et en se détournant de lui.
Je suis déchiré, comme l'a été ma peau par les clous sur la Croix, toutes les fois où je vois l'homme qui se détruit lui-même de ses propres mains, qui détruit son âme.
La vue de l'homme qui souille son esprit me cause une balafre semblable à celle du fouet qui m'entaillait la peau.
La vue de l'homme qui boit à l'amertume du mal, me fait ressentir le goût amer de l'éponge de haine que j'ai goûtée à la Croix.
La vue de l'homme qui perce son être des griffes du Malin, me rappelle la douleur que m'ont causée les épines en me perçant la peau. La vue d'un homme aveuglé par le pouvoir me rappelle le sang qui me coulait dans les yeux, me privant ainsi de la vue.
Pourquoi l'homme ne comprend-il pas ce qu'il se fait à lui-même et ce qu'il fait à Dieu dans le ciel ?
L'homme sait tout de même ce qui est bien et ce qui est mal. L'humanité, c'est certain, peut voir que le mauvais chemin ne cause que peine et souffrance.
L'humanité veut sûrement emprunter le bon chemin.
Il y a un seul bon chemin, c'est le chemin de l'amour, de la bonté, de la douceur, le chemin de Dieu.
Placez vos âmes sur ce chemin et placez-vous sur le chemin de la joie éternelle.
Je demande au monde de cesser de se blesser, d'arrêter de torturer son âme. Je lui demande de commencer sa guérison de sorte qu'il puisse emprunter le bon chemin avec moi, comme guide, à côté de lui.


L'Esprit-Saint, 23 novembre 1994

Jésus est le chemin. C'est Jésus le seul chemin car il est Dieu. Le Père s'est donné lui-même à l'homme par l'entremise de son Fils Jésus Christ. L'homme maintenant doit se donner lui-même au Père au travers de Jésus. Le Père attend que l'homme se donne pour pouvoir lui donner tous ses dons, toutes ses grâces, tout. Les hommes n'ont qu'à les chercher, à les désirer, à en être affamés au travers de l'amour de Jésus, de Dieu.


L'Esprit-Saint, 24 novembre 1994

Vous m'aimez, vous m'adorez et vous êtes avec moi l'espace d'un instant. Un instant, c'est-à-dire votre vie, car elle n'est rien qu'un instant dans l'éternité.


L'Esprit-Saint, 25 novembre 1994

Souvenez-vous toujours de prier. Priez en agissant, en parlant et au milieu de vos pensées. Priez sans cesse et vous vous fortifierez en moi.


Le Seigneur Jésus, 25 novembre 1994

Les sacrements sont des dons particuliers que mon Père a donnés aux hommes pour les rapprocher de lui.
Les hommes ne doivent pas sous-estimer les sacrements. Ceux-ci doivent être appréciés pour ce qu'ils sont vraiment, des grâces de Dieu pour l'homme. Les sacrements sont surtout pour le bien des hommes, le bien de leurs âmes, de leurs esprits. En recevant les sacrements, l'homme obtient plus qu'il ne croit, il reçoit un pur cadeau d'amour de la part du Père des cieux. A l'homme qui reçoit un sacrement, Dieu donne son amour, un amour qui alimente son âme, qui nourrit et remplit son esprit.
L'homme, en recevant un sacrement, fait lui aussi un cadeau à Dieu : celui que représente son acceptation de l'amour divin, celui par lequel il montre à Dieu qu'il croit vraiment et au moyen duquel il lui manifeste son amour.
L'homme doit arriver à comprendre la vraie signification de chacun des sacrements, le vrai don qui s'y trouve, l'amour vrai qui l'attend en chacun d'eux. Communier à Dieu dans l'Eucharistie, c'est simplement se joindre à lui, devenir un avec lui par l'entremise du Corps et du Sang du Seigneur Jésus. Quand vous recevez Jésus dans ce sacrement, il remplit tout votre être. Il vous remplit de son amour, de sa lumière, de lui-même. C'est la personne elle-même qui paralyse l'amour, la lumière, Jésus, en ne croyant pas que l'Eucharistie est vraiment le Corps et le Sang du Seigneur ressuscité. Elle est alors empêchée de tirer pleinement profit de ce qui est là pour elle dans ce sacrement, la vraie joie et la gloire d'être une avec Dieu. Quand vous recevez l'Eucharistie, acceptez-la pour ce qu'elle est vraiment, Jésus, et permettez au Seigneur de vous aimer totalement. Il faut communier au minimum toutes les semaines, et tous les jours pour manifester à Dieu que vous l'aimez vraiment.
Il faut voir dans le sacrement de réconciliation ce qu'il est vraiment. C'est Dieu, votre Créateur, qui vous lave, vous pardonne et vous purifie. C'est votre Dieu qui vous dit : « Je t'aime et je veux que tu t'aimes toi-même, je veux que tu arrêtes de te blesser en péchant. Je veux que tu sois un esprit pur et vrai, ce pour quoi tu as été créé.»
C'est ton Dieu qui te manifeste sa miséricorde, sa bonté, sa douceur, son amour.
C'est ton Dieu qui te dit qu'il se préoccupe de toi et donc qu'il te pardonne.
C'est ton Dieu qui te dit : « Je t'aime, et je veux que tu m'aimes.»
C'est ton Dieu qui te dit : « Sois heureux, sois content de demeurer dans mon amour et débarrassé du péché.»
C'est ton Dieu qui te dit : « Je comprends ta faiblesse, ta fragilité et je t'aime toujours.»


Notre-Dame, 4 décembre 1994

Debout au pied de la Croix, j'ai regardé mon Fils Jésus donner sa vie pour les hommes. Debout, j'ai prié le Père du ciel de leur pardonner ce qu'ils faisaient. J'ai prié le Père de soulager la souffrance de Jésus et je lui ai demandé la force de pouvoir assister à son martyre atroce. Jean à mes côtés et moi, nous avons offert tout notre amour au Père pour qu'il adoucisse sa souffrance, ne serait-ce qu'un peu. Nous nous sommes totalement offerts à lui pour qu'il débarrasse le Messie de ce fardeau. Je savais qu'il ne le pouvait pas, car ce sacrifice était nécessaire pour délivrer l'homme de ses propres chaînes, ces chaînes que l'humanité s'est elle-même forgées. Je voulais embrasser mon Fils et le consoler. Je voulais le tenir dans mes bras et lui dire que je l'aimais et que sa maman était là. Je voulais le couvrir de baisers comme je le faisais lorsqu'il était petit. Je voulais que mon Fils vive, mais je savais qu'il ne le pouvait pas, qu'il devait subir la mort pour pouvoir montrer à l'homme combien Dieu l'aime. Les larmes de douleur qui coulaient de mes yeux ont formé des flaques d'amour, des flaques d'attention maternelle et de joie sans fin. Mon cœur serré a créé l'amour que je ressens pour tous les hommes, a créé un lien particulier entre moi et toute l'humanité. Aujourd'hui encore je verse des larmes en voyant mes enfants insensés suivre le chemin de l'autodestruction, le chemin du mal et du péché. Mon cœur doit-il à nouveau se briser ? Dois-je endurer le chagrin de la mère qui voit ses enfants se faire du mal ? Dois-je à nouveau pleurer la mort de mes enfants, une mort qui durera éternellement ? Tout ce que je veux pour mes enfants, c'est le bien, tout ce que je veux pour eux, c'est l'amour, c'est le ciel. Je veux tout pour mes enfants. Si aujourd'hui les hommes pouvaient changer, s'ils pouvaient se mettre à prier, à aimer Dieu et à s'aimer mutuellement, à recevoir souvent les sacrements et se mettre à mener la vie pour laquelle Dieu les a créés, alors et alors seulement, cette terre pourrait devenir le paradis qu'elle était censée être. Si les hommes pouvaient apprendre à pardonner, à accepter les autres sans se soucier des différences et devenir une seule famille, la famille de Dieu, c'est alors, mais seulement alors que l'éternité (le ciel) pourrait leur appartenir.

Prière pour obtenir des grâces


Marie Reine de la Croix
Dieu accordera une grâce à la personne qui dira cette prière en ayant dans le cœur mon image de Reine de la Croix :

Je prie le Seigneur de m'accorder la grâce de... (la mentionner) par l'entremise de Marie, sa Mère, Notre-Dame de la Croix.

Dire 3 Je vous salue Marie, 3 Notre Père et 3 Gloire au Père.
 
 
Sacré Coeur - Témoins de l'Amour et de l'Espérance
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